Le rapport publié en 1999 est venu à la conclusion que « Les consommateurs sont peu sensibilisés aux questions de planification de collectivités durables. Il ne savent généralement pas qu'il existe déjà une gamme d'options de logement durable à leur disposition et qu'ils sont peut-être même déjà en train d'appliquer certains aspects des collectivités durables. Les consommateurs sont nombreux à croire que les collectivités durables sont une sorte de tout ou rien dont il existe actuellement peu d'exemples. Il apparaît, en outre, qu'il n'existe pas suffisamment d'information que les consommateurs pourraient obtenir facilement concernant un grand nombre d'aspects de la planification de collectivités durables, et il ressort aussi que les consommateurs sont réceptifs à ce qu'on leur fournisse plus d'information. »
« L'aménagement paysager est celui des divers aspects de la planification de collectivités durables qui suscite le plus d'intérêt auprès des consommateurs. Non seulement s'avèrent-ils particulièrement intéressés à ce qu'on les informe à cet égard, mais ils sont également tout à fait prêts à s'y attaquer dès maintenant. De tous les concepts examinés, c'est celui des collectivités groupées qui leur plaît le moins. Les consommateurs sont attirés par des mécanismes communautaires qui leur permettraient d'utiliser moins leur véhicule pour se rendre plus facilement à destination.»
Les quatre avantages personnels les plus recherchés par les participants comprennent :
- l'abordabilité (coûts de logement et taxes);
- l'interaction communautaires qui comprend le droit à la vie privée, le bruit, le crime, le dialogue avec ses voisins;
- le trafic; et
- l'accessibilité aux lieux et services, par exemple les écoles, les espaces verts, etc.
Ceci a mis en valeur le besoin de se concentrer sur la dimension humaine des collectivités durables, en n'excluant pas, toutefois, les implications au niveau de la société.
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